extrait de presse

Katia Berger, tribune de Genève :

TDG139 - copie (1)

 

L’Atelier critique, Artemisia Romasio :
La Cie Superprod propose donc un dispositif ouvert en donnant du poids aux spectateurs, qui forment des individualités mais aussi une collectivité, un corps. La réserve du public est-elle due à une faille du dispositif scénique qui nous est proposé, ou est-elle cette difficile prise de conscience politique que le dispositif souhaite justement révéler ? On serait tenté d’y retourner afin de s’emparer de cet acte abstentionniste qui semble pouvoir émerger…

 

extrait de la lettre que Claude Thébert nous a envoyé suite à sa venue :
« J’ai beaucoup aimé cette soirée (ce spectacle?). Vous êtes troublants de sincérité, de cette simplicité qui paraît improvisée et qui est le fruit d’une grande préparation (des années, une lucidité, une générosité).Vous m’avez eu. Je vous en remercie. J’aime ces stimulations et je ne crains pas ma naïveté. L’idée de cette écriture, de cette spontanéité, de cette utilisation souple de technologies avec lesquelles vous êtes né(e)s,…,tout cela nourrit mon imaginaire. »